Le 37e Forum Cap'Com se tient du 18 au 20 novembre à Angers.
3 jours, 1000 communicants, 150 intervenants se réunissent pour échanger sur les pratiques de la communication publique, les confronter aux analyses d'experts et d'universitaires et découvrir un territoire de communication.
Le Forum Cap’Com fait étape à Angers, un territoire qui a su écrire et illustrer une histoire commune jusqu’aux mutations socio-environnementales d’aujourd’hui. Sa tapisserie de l’Apocalypse, monumentale œuvre de vulgarisation par l’image, étoffe ce territoire et résonne encore. L’artiste contemporain Jean Lurçat reprit là le fil d’un récit de renaissance de l’humanité, comme si le fait de raconter permettait de retisser le lien.
Humanisme et narration, Angers nous montre la voie. Cette édition est l’occasion de remettre la narration au cœur de la communication publique pour affronter des tensions autour des transitions, des questions de génération et du dialogue post-crise. Car tisser des liens, c’est, sur une trame historique, entremêler les fils des destins individuels. Les communicants publics sont-ils des tisserands ou doivent-ils broder un peu ? Nous débattrons, nous apprendrons et nous éclairerons tous les aspects d’un métier qui, lui aussi, se transforme. Ce sera le moment de travailler nos récits sans se raconter d’histoires !
3 jours, 1000 communicants, 150 intervenants se réunissent pour échanger sur les pratiques de la communication publique, les confronter aux analyses d'experts et d'universitaires et découvrir un territoire de communication.
Le Forum Cap’Com fait étape à Angers, un territoire qui a su écrire et illustrer une histoire commune jusqu’aux mutations socio-environnementales d’aujourd’hui. Sa tapisserie de l’Apocalypse, monumentale œuvre de vulgarisation par l’image, étoffe ce territoire et résonne encore. L’artiste contemporain Jean Lurçat reprit là le fil d’un récit de renaissance de l’humanité, comme si le fait de raconter permettait de retisser le lien.
Humanisme et narration, Angers nous montre la voie. Cette édition est l’occasion de remettre la narration au cœur de la communication publique pour affronter des tensions autour des transitions, des questions de génération et du dialogue post-crise. Car tisser des liens, c’est, sur une trame historique, entremêler les fils des destins individuels. Les communicants publics sont-ils des tisserands ou doivent-ils broder un peu ? Nous débattrons, nous apprendrons et nous éclairerons tous les aspects d’un métier qui, lui aussi, se transforme. Ce sera le moment de travailler nos récits sans se raconter d’histoires !